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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 06:49

 


Les Adieux à la reine- Chantal Thomas
Editions du Seuil - 254 pages.

1810. Vienne est une ville ruinée et humiliée par le passage et la victoire de Napoléon. Agathe, ancienne lectrice de Marie-Antoinette, se souvient des derniers jours de la reine à Versailles après la prise de la Bastille, et particulièrement de ce jour où la famille royale s'est trouvée abandonnée.
Avec une écriture fébrile et minutieuse, elle restitue le faste de la Cour, savamment orchestré par cette reine si controversée...

Agathe Sidonie Laborde était lectrice de la reine Marie-Antoinette. Exilée depuis à Vienne, elle raconte les derniers jours qu'elle a passé à Versailles auprès de la reine, après le 14 juillet 1789.

A cette époque, Versailles, sous ses dorures, respire la crasse, le manque d'hygiène, la puanteur. Et malgré ces nombreux désagréments, Versailles fascine et reste une place enviée.
Les journées à Versailles sont rythmées par nombres de cérémonies auxquelles la reine doit se soumettre.  Elle semble emprisonnée dans son rôle de figuration, exhibée tel un animal en cage.
C'est seulement au petit Trianon, qu'elle semble pouvoir être elle-même.
A travers ce portrait, Marie-Antoinette m'est apparue comme une femme seule, malheureuse, une mère inquiète pour ses enfants. Une femme, une mère, que je n'ai pu m'empêcher de plaindre.
Marie-Antoinette, née autrichienne, restera une étrangère responsable de tous leurs maux pour le peuple français.
La misère dans les rues, le peuple se révolte et la Bastille est prise le 14 juillet 1789.
A l'annonce de cette rumeur qu'on ne peut croire, la Panique s'installe à Versailles. Tous ces courtisans, invités à la cour au temps du faste de la royauté, libèrent leur venin, lorsqu'elle est en danger et rivalisent de couardise. C'est à ceux qui partiront le plus vite, abandonnant tout derrière eux, y compris leurs propres enfants. Des êtres sots et incultes, révoltant d'hypocrisie.

Extraits :

- "Marie-Antoinette avait une horreur particulière des puces et des punaises. Elle avait entrepris, à l'aide de produits qu'elle faisait venir de Vienne dans des cassettes que l'on aurait dit de trésors, une lutte méthodique. On mettait son horreur des puces au nombre de ses extravagances d'étrangère, comme cette habitude qu'elle avait de se laver avant de se maquiller..." (page 17).

- "Et comme il n'y avait pas d'enfants à Versailles, les courtisans s'en allaient sans eux, confiants dans le fait que la nourrice qui avait commencé de les nourrir continuerait. Ou bien ils les oubliaient complètement. Devenus féroces, car ils croyaient sentir contre leur gorge la main des révoltés qui les pendaient à la lanterne, certains ne se souvenaient pas même avoir procréé." (page 205).


Malgré l'intérêt historique des adieux à la reine de Chantal Thomas, qui nous permet de revivre dans le détail les derniers jours de la monarchie à Versailles, j'avoue avoir peiné dans ma lecture. Je n'ai pas vraiment réussi à rentrer dans le récit.
Ceci dit, je pense tout de même me pencher à l'occasion sur une autre oeuvre relatant la vie de Marie-Antoinette, femme qui m'est ici apparue fort touchante.



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commentaires

K
@ Karine : J'ai d'ailleurs prévu de lire celui de Zweig dans le cadre de mon challenge ABC 2009 classique.
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K
Sur le sujet, je veux comme toi lire celui de Zweig... Ce livre-là me tente moins au premier abord, par contre.
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K
@ Gambadou : Je pense lire le roman de Stefan Zweig sur Marie-Antoinette prochainement...
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G
justement j'avais envie de lire un livre sur cette femme, alors je passe sur celui là
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K
@ Florinette : Ce n'était tout simplement peut être pas pour moi le bon moment pour cette lecture.<br /> @ Pimpi : J'ai bien apprécié les parties du roman plus centrées sur la vie de Marie-Antoinette. Je vais d'ailleurs lire le Marie-Antoinette de Stefan Zweig.<br /> @ Katell : Je crois bien l'avoir repéré chez toi !<br /> @ Chris89 : Euh... Je ne crois pas non... ;-D
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