
Il y a encore quelques mois, Harry Ricks était professeur dans une université américaine et menait une vie tranquille avec sa femme et sa fille. Aujourd’hui, Harry survit tout juste dans une chambre de bonne crasseuse à Paris, au fin fond du Xe arrondissement, et n’a plus aucun contact avec sa famille. Alors qu’il croit toucher le fond, la passion fait irruption dans sa vie : elle s’appelle Margit, elle est hongroise et sensuelle. Et très énigmatique : Harry ne devra pas lui poser de questions sur son travail, son passé, sa vie, et ne pourra la voir que deux fois par semaine, à dix-sept heures, dans son appartement du Ve. Comme envoûté, Harry accepte. Mais bientôt se produisent autour de lui d’étranges coïncidences?
C'est le premier roman que je lis de Douglas Kennedy.
Ce roman se lit facilement. On a envie d'avancer pour savoir ce qu’il va se passer.
Et bien il ne se passe pas grand chose !
Le héros subit une succession de galères qui va crescendo… Ensuite, comme si l’auteur avait voulu se débarrassé vite fait de son roman, apparaît le dénouement de l’histoire qui est totalement invraisemblable. L’irruption du surnaturel me semble en effet tirée par les cheveux. A vrai dire, j'ai été déçu, j'ai trouvé la fin bâclée.
J’ai eu l’impression que Douglas Kennedy avait voulu faire du Guillaume Musso ou du Marc Lévy à sa façon, mais c’est raté !
Je pense que je lirai quand même un autre ouvrage de cet auteur pour confirmer ou pas mon impression.